#Diezz, la marque qui en a sous le casque !
#Diezz, la marque qui en a sous le casque !
Naissance d’une gamme de casques de cyclisme
Depuis la pandémie, la pratique du vélo explose : + 39 % selon une enquête de l’association Vélo et Territoires. À Paris, cette hausse s’envole de 78 % par rapport à 2019. De quoi booster les ventes de vélos, plus de 2 789 000 deux roues ont été acheté en France en 2021, et surtout de casques.
Car l’usage de la bicyclette n’est pas sans risque. Sur les douze derniers mois, le nombre de cyclistes tués sur la route a augmenté de 29 % par rapport à 2019, pour attendre 242 victimes. Aujourd’hui le port du casque est obligatoire pour les enfants et devient la norme pour les adultes, surtout ceux circulant en ville.
De quoi confirmer la conviction de Sandra Arbet, la PDG de l’entreprise d’Annecy, GB Diffusion, de l’intérêt de se lancer sur ce marché prometteur. Une petite révolution pour cette entreprise fondée en 1996 qui s’est d’abord imposée comme une référence dans le casque de ski à visière. C’est en 1999 que son fondateur crée la marque #Diezz qui a séduit des nombreuses enseignes de sport françaises grâce à la qualité de conception « in house » de ses produits, leur design et les technologies proposées associées à un mix qualité-prix très équilibré. Des atouts qui séduisent les skieurs exigeants attachés à la combinaison sécurité, confort, esthétique.
En 2001 GB diffusion est devenu le distributeur exclusif de la marque américaine de gants de ski Gordini puis a créé après différentes étapes de développement ses propres visières intégrant la technologie Activlux. Aujourd’hui les casques et accessoires conçus ou distribués par GB Diffusion sont commercialisés dans 325 stations auprès de 400 clients, chaines spécialisées, indépendants, au Vieux Campeur ou encore dans les clubs de montagne du Club Med.
En 2021, Sandra et François Régis Arbet, un couple de montagnards très investis dans le territoire Alpin, décide de racheter GB Diffusion. Très attirée par l’entrepreneuriat qu’elle côtoyait au quotidien en tant que banquière au sein du Groupe BPCE, c’est Sandra qui prend la direction de l’entreprise. En quelques mois elle dynamise l’activité et bâtit un plan stratégique qui comprend notamment le lancement d’un site Internet commerçant et la création d’une nouvelle activité de design et distribution de casques destinés aux mobilités douces comme les vélos, trottinettes, skate board, gyropodes… “Nous voulions profiter de notre savoir-faire pour désaisonnaliser notre activté. Le vélo s’est très vite imposé“, explique Sandra Arbet. Autre chantier, relooker le logo #Diezz et adopter une nouvelle baseline : Move with style.
Une nouvelle gamme de produits qui démarre avec le lancement en juin des premiers modèles dotés de sangles en cuir et décliné en quatre coloris : bleu lagon, blanc perle, noir et titanium et pour les visières : bleu, rouge, argent et or à harmoniser à sa guise. Grâce à un fit inégalé, ses 10 ventilations, le casque #Diezz convient à toutes les têtes. Sa visière Activlux photochromique (CAT 0-2) assure un grand confort visuel et une protection optimale. Elle permet également à son utilisateur de conserver ses lunettes sans gêne. Il répond à la norme CE EN1078 Class B et marie confort et sécurité. En effet, le casque est très léger pour un casque à visière (425g) tout en étant sécuritaire car conçu en ABS, un polymère thermoplastique réputé pour sa résistance extrême et d’une grande capacité d’absorption des chocs en cas de chute. Avec sa conception française et sa fabrication en Italie, #Diezz confirme sa volonté de réduire les émissions à effet de serre et de contribuer à préserver l’environnement.
« Je suis très fière de pouvoir proposer aux spécialistes de la distribution un produit middle market de très belle qualité, conçu en France et produit en Italie, qui faisait défaut sur le marché. « Je le dis clairement à nos futurs partenaires distributeurs : nous sommes prêts, nous sommes très attachés au partage de valeur, notre équipe est très mobilisée et saura répondre aux enjeux du secteur et aux attentes des clients », conclut Sandra Arbet.